Dans la prison abandonnée à Cayenne, des fleurs poussent dans les fils de concertina rouillés en haut d’un mur d’enceinte. Les plantes sauvages s’évadent. On ne se méfie jamais assez de la persévérance végétale. Cayenne, 2018 – Chantal Deltenre
Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:
Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. ( Déconnexion / Changer )
Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. ( Déconnexion / Changer )
Connexion à %s
Avertissez-moi par e-mail des nouveaux commentaires.
Avertissez-moi par e-mail des nouveaux articles.
Δ